Autre solution

 

 

 

 

Depuis Montguyon nous allons reporter en direction de Bédenac, trois fois et demi la distance de Montguyon à Haute Borne (La distance de Montguyon à Haute Borne est égale à racine de 2U.).

Nous sommes tout près de Bédenac distant de 5U. de Montguyon, puisque nous sommes à :

3,5 x V2U. = 4,9497472U.

Joignons ce point à Haute Borne, puis traçons une parallèle à Montguyon Haute Borne  par Turpin.

Au point de jonction, menons une perpendiculaire à  la direction Montguyon Bédenac. Nous obtenons alors l’ouverture du compas, qu’elle est sa valeur ?

La distance de Turpin à Bédenac est égal à :

3,5 x V2U. - 1 = 3,9497472U.

Par la méthode des triangles semblables, le rayon est égal à : 3,9497472 U./ 4,9497472U. = 0,7979694U.

En réalité il nous faudrait obtenir 0,79788845U.

L’erreur devient infinitésimale, elle est de 0,02% !!!

En effet, la surface trouvée est égale à 2,00045U²,  au lieu de 2U². Nous sommes très près de l’exactitude.

 

 

 

 

 

 

La révélation approche

 

 

 

 

 

 

Nous avons tracé  les trois tables recherchées : le double carré, puis le carré et enfin le cercle.    

Nous allons garder le double carré et le cercle.

Par contre le carré va faire place à un petit carré égal à la moitié de la surface, donc 1U².

Il nous suffit de tracer un carré de côté un, centré sur Turpin et ayant toujours ses diagonales suivant les grands axes des sites mégalithique.

Nous avons donc maintenant un double carré avec un sommet à Turpin, ce sommet est le centre du cercle et du petit carré.

Ces trois figures géométriques simples vont nous révéler l’impensable…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le troisième niveau du château

 

 

 

 

 

 

Le troisième niveau du château médiéval de Montguyon est construit selon un plan très particulier.

Le Maître de l’Oeuvre au moyen-âge  à n’en pas douter possédait la connaissance du trait.

Le plan met en évidence une salle de proportion un par deux, puis une pièce carrée à l’intérieur du donjon circulaire.

Stupéfaction, ce dessin se superpose avec celui issu de la quadrature du cercle approchée précédemment grâce à l’implantation des dolmens et menhirs.

Le tracé qui découle des mégalithes est exactement 250 fois plus grand que celui du château !

Que de constatations étranges…

Il y a quatre millénaires et demi, nos prédécesseurs ont commencé à dresser des pierres brutes dans notre belle région, puis il y a huit siècles d’autres ont érigé un château de pierres taillés. J’ai eu la chance de constater des correspondances évidentes entre des constructeurs vivant à des époques très éloignées.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ceci nous questionne. Est-ce le hasard ?

Est-ce une connaissance qui s’est perpétuée à travers les siècles ?

Comment expliquer par le hasard un alignement de dix sites particuliers sur un axe solsticial de plus de 43 km ?

Pourquoi sept sites mégalithiques disposés selon des règles précises de géométrie. Dix sept lieux sont en correspondances les uns avec les autres…

Pourquoi des tracés identiques selon la quadrature du cercle à l’échelle 1/250° alors qu’ils ont été créés à trois millénaires et demi d’écart ?

Pourquoi un architecte de Montguyon a-t-il eu l’immense bonheur de marcher dans les pas de ces illustres constructeurs, d’avoir découvert leurs secrets ?

Que penser de ces nombreux visiteurs venus me voir avec des pendules, des outils de sourciers, des cartes de courants divers, etc. suite à une parution dans un livre.

Tous certains de leur savoir me donnèrent leurs explications saugrenues. Combien donnèrent la position de sources cachées, de courants telluriques (toujours à des endroits différents les uns des autres) ?

Parfois les extraterrestres n’étaient pas loin !

Pitoyables explications, dénis du savoir ancestral, reniement du rationnel.

Sachons rester humble devant les faits.

Une dernière révélation, ces emplacements particuliers permettent de résoudre un problème géométrique avec une extrême précision, la duplication du cube ! 

 

 

 

 

 

 

La duplication du cube

 

 

 

 

 

Trois problèmes géométriques restent à résoudre avec précision depuis l’antiquité:

La quadrature du cercle, la duplication du cube et la trisection de l’angle.

La duplication du cube consiste à tracer un cube de volume double par rapport à un cube initial.

Doubler l’arête n’est pas la solution, ceci conduit à un cube huit fois plus grand (2 x 2 x 2 = 8).

Le cube de référence d’arête 1U nous amène à un cube 

de côté racine cubique de deux, soit 1,259921U.

Considérons le carré de côté Montguyon à Haute Borne afin de trouver la face du cube dupliqué.

Traçons une droite depuis Haute Borne passant par Montguyon. Déterminons à partir de Baute Borne une distance égale à la moitié du nombre d’or.

A partir du milieu du segment Montguyon à Haute Borne, plaçons la pointe du compas et traçons un arc de cercle ouvert jusqu’à l’un des deux angles opposés du carré.

Cet arc de cercle coupe la droite au-delà de Montguyon, depuis Haute Borne nous obtenons la valeur du nombre d’or qu’il nous suffit de diviser par deux

Maintenant, reportons depuis Haute Borne quatre fois la diagonale du carré puis retranchons la moitié du nombre d’or.

De ce point traçons une droite passant par l’angle nord du carré, elle coupe le prolongement de l’arête du carré à un point qui est à 1,2598862U de Haute Borne au lieu de 1,259921U !!!

L’erreur infinitésimale est de 0,00276% !!!

Nous effleurons la perfection.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’ultime révélation

 

 

 

 

 

 

Les recherches précédentes m’ont permis de découvrir 17 sites respectant un tracé géométrique très structuré avec un module de base.

Pourquoi 17 ? Pourquoi 10 + 7 ?

Ce nombre impair m’intriguait.

Je me penchai donc à nouveau sur la carte.

N’y avait-il pas un 18°  site qui m’aurait échappé ?

Le nombre 18 serait plus logique.

C’est 2 fois 9 ou 3 fois 6. En additionnant ses chiffres, nous obtenons 9, chiffre initiatique des peuples anciens, dont les Celtes. 

Les trois triades unissent la perfection, l’ordre et l’unité.

Le 9 unifie les trois mondes symbolisés chacun par un triangle : les enfers, la terre et le ciel.

C’est également 10 + 8.

10 est le nombre de la Tetraktys pythagoricienne issu de la somme des quatre premiers nombres: 1+2+3+4 = 10.

Les dix doigts des mains ont engendré notre système de calcul à base dix.

Le 8 nous replonge dans le monde celtique avec la roue à huit rayons.

Les quatre points cardinaux et les quatre directions intermédiaires nous orientent sur terre.

Le tracé des sites de la région de Montguyon comporte 10 sites sur l’axe solsticial.

Aurions-nous huit autres sites particuliers et non pas sept seulement ?

Ce 18° site énigmatique existe bel et bien, il est dans la périphérie de Montlieu La Garde.

Un énorme menhir git dans l’herbe. Il fut renversé et déplacé de quelques dizaines de mètres il y a quelques décennies.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le menhir couché de Montlieu La Garde (photo BB)

 

 

 

 

 

L’emplacement révèle des merveilles de la nature chargées de symboles.

La contrée s’appelle « les trois fontaines ».

Les sources sont sacrées chez nos ancêtres les Gaulois.

Ce sont des divinités, elles ont le fabuleux pouvoir de guérir.

Ceci s’est perpétué à travers le temps, la grotte et la source de Lourdes sont là pour le démontrer.

Les miracles sont là pour l’attester.

La source est également liée à la connaissance, « donnez à boire à celui qui a soif ».

L’eau de source est une eau vive, non stagnante, elle est pure et féconde. Elle émerge des profondeurs de la terre mère et participe à la vie.

Ces sources et fontaines sont toujours visibles au pied du menhir. Elles sont sur le versant sud, à la base d’une longue falaise calcaire ensoleillée.

Les quatre éléments s’unifient et participent au grand œuvre.

Une autre merveille malheureusement à l’abandon est présente sur ce site ancien.

Proche des sources est une grotte creusée par l’eau dans le calcaire tendre.

L’eau suinte toujours et s’écoule goutte à goutte.

La nature au cours du temps a sculpté la roche et construit de magnifiques concrétions.

Cette caverne est actuellement dans un état immonde, elle sert de bergerie ! L’irrespect fait parti de notre monde actuel.

Comment peut-on endommagé un tel édifice sacré ?

A-t-on oublié que la caverne est un lieu initiatique où l’homme se régénère ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle est parfois dans la mythologie populaire considérée comme l’abri des lutins, nains et autres.

C’est le cas ici, en effets, cette grotte est connue sous le nom de « trou des fadets ».

Tout près de ce lieu, à quelques centaines de mètres vers l’ouest existe une suite de carrières de pierres avec des cascades et stalactites de toute beauté dans un univers végétal enchanteur.

Tout cet ensemble est situé sur le grand côté de l’angle droit du triangle rectangle déterminé par les trois « Pierre Folle » à une distance de Saint-Palais de Négrignac égale au nombre d’or 1,618 !

Les cavernes depuis des milliers d’années ont protégé nos prédécesseurs.

A moins de cent kilomètres de Montguyon, un abri ancien allait me permettre de « boucler la boucle ».

A Saint-Porchaire se trouve le château de La Roche Courbon.

Petit enfant, j’avais visité cet édifice où selon la légende est la belle au bois dormant. Plus sérieusement, nous pouvons y admirer des abris rocheux très anciens.

Cinquante ans après, j’y suis retourné en 2007.

Cette visite faisait suite à un article journalistique concernant la découverte d’une pierre sur laquelle est gravée un triangle isocèle. Cette gravure est estimée à environ quinze mille ans.

Ce tracé n’est pas s’en rappelé les triangles issus des tracés de Montguyon.

Autre étrangeté.

Sur l’enduit du château médiéval de Montguyon demeure encore un tracé. C’est un triangle présentant beaucoup de similitudes avec les deux précédents !

 

 

 

 

Remerciements

 

 

 

 

 

Remerciements à tous mes ancêtres qui se sont succédés sur le globe terrestre. Sans eux, je ne serais pas en ce monde âgé de quatorze milliards d’années.

Mes parents m’ont permis de naître, d’exister.

Je remercie ma « première maîtresse », madame Lamot, celle qui m’a appris à lire et à écrire en quelques semaines, j’avais cinq ans et trois.

Elle et d’autres par la suite m’ont donné goût à l’école, à l’étude, à la recherche de la connaissance.

Merci aussi à son mari, monsieur Lamot. Au début des années 1980, au moment où je commençais mes recherches, voyant les prémices de mes travaux, il me dit de chercher l’étoile à cinq branches. Cette question résolue entraina toute la suite de mes recherches pendant un quart de siècle.

Merci à la providence. Je suis né au bon endroit, à Montguyon où m’attendaient les sites mégalithiques et le château médiéval.

J’ai eu également la chance de faire les bonnes lectures au bon moment. Elles m’ont donné les solutions aux questions posées.

Je remercie tous ceux qui m’ont aidé, notamment les membres des deux associations que j’ai créées et présidées depuis 1980.

Sans eux mon existence fut tout autre.

Je pense aussi au directeur du centre pénitencier de Bédenac, monsieur Gillardeau. Faire travailler des détenus sans surveillance à la restauration des remparts du château nécessité du courage. Merci aux prisonniers en fin de peine d’avoir œuvrer à la résurrection de la fortification.

Je rends également hommage aux Rméistes, salariés de l’association en contrat emploi solidarité.

Je n’oublie pas le Conseil Général de la Charente-Maritime et la Communauté des Communes de la Haute-Saintonge dirigés par monsieur Belot.

Sans son soutient, notre grande fête médiévale et le son et lumière n’aurait pas pu exister. Notre conseiller général du canton, monsieur Daviaud nous a toujours soutenu dans cette longue épopée.

La région Poitou-Charentes nous a décerné le trophée de la Région pour la meilleure initiative prise dans un site historique, nous a financé pour nos festivités. La Direction Régionale des Affaires Culturelles à inscrit la fortification en 2004, marquant son intérêt pour l’ensemble architectural et témoignant de sa reconnaissance pour les travaux réalisés bénévolement pendant vingt ans.

Je remercie tous les « sans noms », tous ceux qui m’ont aidé de près ou de loin.

D’autres malheureusement ont passé leur temps à dresser des obstacles, à combattre notre noble action.

Ils se sont discrédités et ont gaspillé beaucoup d’énergie en pure perte. J’en suis triste pour eux.

L’essentiel est le résultat probant de toutes nos actions exemplaires. Nos très nombreuses  réussites constituent  la meilleure des réponses.

L’opiniâtreté a triomphé de l’obscurantisme.

Merci à tous, l’homme seul n’est rien sans le secours des autres…

 

 

 

 

EPILOGUE

 

 

La pierre gravée et la balle de golf

 

 

 

 

Dix-huit points en relation géométriques m’ont permis de découvrir des tracés étonnants.

Pourquoi ai-je eu cette chance insolente ?

Pourquoi le 10 janvier 1982, ai-je saisi une pierre sans intérêt parmi des centaines et découvert une volute à six pétales gravée sur sa face cachée depuis des siècles ?

Parfois le surnaturel paraît très proche quand un fait jugé impossible se réalise.

Pourquoi avoir consacré vingt cinq ans de ma vie à restaurer le château de Montguyon malgré bien souvent l’incompréhension et l’adversité ?

Une certitude, ces épopées de mon existence, imbriquées les unes aux autres, intimement liées, m’ont apporté beaucoup de satisfactions.

La joie de transmettre aux générations futures des joyaux de l’architecture condamnés à la destruction.

Le bonheur d’avoir empêché la démolition des écuries et de les voir utilisées très souvent par des particuliers ou des associations.

La fierté de contempler les remparts consolidés et reconstruits par des hommes au RMI, dans la précarité, qui ont regagné leur honneur et leur place dans la société.

Je n’oublie pas les détenus que j’ai côtoyés pendant des années. La clé de la non récidive passe par le respect mutuel, par la prise en compte de la dignité humaine.

Non seulement nous avons construit des murs, mais surtout nous avons reconstruit des êtres humains.

Quelle récompense et reconnaissance donnée par la Direction Régionale des Affaires Culturelles en classant l’ensemble des écuries et des remparts à l’inventaire des monuments historiques à Poitiers en 2004 après un an de préparation.

L’immense satisfaction d’avoir fait revivre un ensemble médiéval par des fêtes et sons et lumières rassemblant chaque année des milliers de spectateurs charmés.

Ecrire et mettre en scène « des ténèbres à la lumière » et « Ô Feu ! » fut une expérience des plus exaltantes.

Réaliser plus de trois cent costumes anciens, diriger deux cent bénévoles et artistes et obtenir le trophée de la Région Poitou-Charentes et le label « Festival Sites en Scène » de la Charente-Maritime n’est pas anodin.

Je rends hommage à toutes celles et à ceux qui m’ont aidé, ils sont nombreux.

Il y a ceux qui m’ont beaucoup donné d’un point de vue initiatique et ésotérique. Mon étude sur les dolmens et le château n’aurait pu connaître un tel aboutissement sans eux.

Ce n’est pas par hasard que ces actions se sont développées. Elles n’ont de sens que dans leur globalité.

Encore un dernier exemple personnel à propos du hasard avant de clore ce livre.

En 1991, j’étais président du club de tennis de la ville de Saint-Aigulin. Sur le terrain de football annexe, tout près des courts de  tennis, un homme « tapait » des balles de golf.

Par curiosité, je lui demandai d’essayer.

A mon premier essai, la balle partit à quatre vingt mètres de l’autre bout du terrain de football. Je suis allé à sa recherche et face aux tennis où évoluaient deux joueurs, je frappai à nouveau la balle.

Elle se dirigea vers les courts, tomba à quelques mètres de ceux-ci, rebondi, traversa le grillage protecteur, percuta la balle de tennis et dévia cette dernière sur la tête de l’un des joueurs qui allait la recevoir.

Incroyable, mais vrai, nous étions cinq ce jour là à assister à ce miracle !

A n’en pas douter, ceci ne s’était jamais produit, et ne se produira jamais plus !

Hasard, vous avez dit hasard ?

J’allais oublier de vous préciser un dernier fait, une dernière anecdote :

Au XIX° siècle, un personnage illustre de la contrée s’intéressa aux dolmens et au château de Montguyon.

Il se nommait : Comte Henri de Lestrange !!!

Tout ce qui précède n’est pas un conte…

C’est étrange…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Rencontre avec Michel Onfray à la librairie « Mollat » à Bordeaux le 24 avril 2015.

Je lui offre mon livre.

 

 

 

 

 

 

 

Additif…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Fêtes médiévales et son et lumière de 31 mai 1998 au 27 juillet 2012.

 

Premier prix de la Région Poitou-Charentes

31 mai 1998, meilleur spectacle en site historique

 

Labellisé « Sites en Scène » par le Département de la Charente-Maritime de 1999 à 2012.

 

Membre de la Fédération Française des Fêtes et Spectacles Historiques (FFFSH).

 

 

 

 

FIN

 

 

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